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APPEL AUX ELECTEURS VERTS DE BIHOREL

Nous remercions chaleureusement les 620 bihorellais (15,43% des voix) qui ont voté en notre faveur au premier tour des élections cantonales.

ce vote exprime l’importance de la préoccupation écologique à Bihorel:

– Pour mettre fin aux nuisances provoquées par la déviation des poids lourds à chaque fermeture du tunnel de la Grand Mare
– Pour stopper des projets immobiliers qui mettent en danger le patrimoine du vieux Bihorel et les espaces verts du parc du Chapitre.
– Pour donner la priorité en actes et pas seulement en paroles, à l’environnement : création d’une piste cyclable et piétonnière nord-sud, qualité et fréquence des transports collectifs, gestion écologique des espaces verts, développement des énergies renouvelables…

Le maire sortant, Pascal Houbron, présente un bilan accablant.
Après les défaites des maires de droite de Rouen et Bonsecours, sa réélection porterait le risque, en plus de sa gestion aventureuse, d’un isolement croissant de la commune.

Le mode de scrutin est ansi fait qu’avec 40% des voix, il est assuré d’une majorité absolue de 75% des élus.
Voilà pourquoi nous appelons tous les bihorellais qui ont mis un bulletin vert dans l’urne le 9 mars à ne pas se tromper de vote le 16 mars, aux municipales, à Bihorel.

Bihorel est douce à vivre, nous la voulons, demain, ville de l’exemplarité écologique.

Il n’y aura qu’un seul vote vert le 16 mars, un vote écologique et utile pour tourner la page et faire entrer Bihorel dans le XXIème siècle : le vote pour Benoît Petel

VOTEZ POUR L’ECOLOGIE – VOTEZ BENOIT PETEL – VOTEZ BIHOREL AVEC VOUS, – LISTE D’UNION DE LA GAUCHE ET DES VERTS

Vos candidats verts aux cantonales,

Marie Mabille,
conseillère municipale de Bois Guillaume
Claude Taleb
porte-parole des Verts de Bihorel

Un Commentaire Post a comment
  1. Bonjour,
    En ces temps troubles de PLU où le maire vit dans la crainte, il existe des sujets connexes à ce PLU qui restent scandaleux.
    Nous habitons un charmant petit coin de Bihorel, au 10, rue de la Libération, nous sommes en zone résidentielle (UD). La vraie, la pure celle où nous entendons les oiseaux gazouiller le matin.
    Il y a un problème dans ce joli conte : la famille Brochard, le grand-père, la grand-mère, le fils, son épouse, l’autre fille, des gens "très importants", "capitaine d’industrie" avec des entrées au palais de justice pour le fils.
    La réalité est plus simple, M. Brochard, il y a quelques années créa une entreprise de bâtiment qui via les trente glorieuses fit quelques bénéfices.
    Toute cette jolie famille a toujours été de droite, très proche de M. le Maire quel qu’il soit, pourvu qu’il ne soit pas gauchiste !
    Jusqu’ici c’est un peu bête et terriblement banal.
    Mais l’entreprise de M. Brochard, rien dans l’univers n’est plus important qu’elle, c’était et cela reste la raison de vivre du grand-père aujourd’hui retraité et maintenant la priorité de son fils.
    Nous sommes en zone UD autrement dit sur une zone résidentielle avec interdiction absolue d’exercer une activité telle que celle des Brochard i.e une entreprise de bâtiment avec de très nombreux allers et retours, des camions de plusieurs tonnes chargés parfois à en déborder d’échelles, de sable, de gravats, cailloux, clous, visseries, outils, bâches, garnitures de sécurité, scies circulaires, pétrole en baril etc…
    En toute illégalité M. Brochard exerce son activité à côté de chez nous. Nous estons en justice.
    Lors de nos tentatives d’échanges nous avons toujours senti cette pensée arrogante et vulgaire : "moi, j’connais personnellement le maire, alors… je fais ce que je veux."
    Ainsi les Brochard n’hésitent pas se décharger de leur citoyenneté sur la famille JEAN, mais de même sur les citoyens de Bihorel.
    Je vous explique, c’est très simple.
    Pendant 42 ans Brochard, en toute illégalité a emprunté le chemin pour accéder du 8, rue de la libération où il habite à la rue proprement dite.
    Pendant toutes ces années il a défoncé, endommagé le chemin communal.
    Sans complexe, il s’est mis à bétonner pour combler les ravines créées par les incessants allers et retours de ses camions.
    Ces dernières années nous avons refusé qu’il verse du béton devant chez nous.
    Le 30.06.2009 commencent les travaux, pour enrober par du bitume la partie où les familles Brochard, Jean, et Marie habitent, il va falloir scarifier.
    C’est avec stupéfaction que le professionnel a constaté les immenses et profondes étendues de béton.
    Il va falloir briser toutes ces tonnes déversées par les Brochard, toutes ces années, sans aucunes autorisations.
    Cela va avoir un coût.
    Fier de son : "moi, j’connais personnellement le maire, alors… je fais ce que je veux." Brochard va faire payer l’addition aux Bihorellais, autrement dit toutes ces heures pendant tous ces jours à casser, faire en sorte que le béton coulé par Brochard, ne soit plus un obstacle au bitumage.
    Regardez lors des examens de budget la partie consacrée à la scarification, venez photographier, constater, toutes ces très coûteuses heures que les Bihorellais vont devoir payer pour une erreur qu’ils n’ont pas commise.
    Le pire dans cette histoire, c’est, qu’avant que nous gagnions en justice et si cela se fait bien, c’est que l’entreprise Brochard, compte bien emprunter à nouveau le chemin une fois bitumé.
    La durée de vie de ces très onéreux travaux, n’en sera que réduite, mais ce n’est pas grave pour la famille Brochard, qui crânement pense : "moi, j’connais personnellement le maire, alors… je fais ce que je veux." et qu’importe si les Bihorellais paient pour eux.

    M. & Mme JEAN François.

    juillet 2, 2009

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POUR UN NEW DEAL ÉCOLOGIQUE écologiste, conseiller régional de Normandie