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Articles avec le mot-clé ‘Bihorel’

BIHOREL : REVOLTE POUR UNE VILLE DURABLE!

NON AU PLULe maire de Bihorel et les élus de sa majorité ne mesurent pas la chance qui est la leur !
Les habitants de cette commune de 8500 âmes montrent depuis des mois leur créativité et leur gout pour la mobilisation citoyenne.
Ils ont été plus de 1000 à pétitionner pour un plan de déplacement et de circulation fondé sur les modes alternatifs à la voiture et.. sans contournement est!
Ils sont aujourd’hui pas loin d’une centaine à afficher sur leurs murs, leurs fenêtres, leurs barrières, leurs arbres, le refus du PLU (plan local d’urbanisme). Celui ci fait l’impasse sur les nuisances liées à la circulation de camions et de trafic de transit et "oublie" l’ambition de valorisation et de protection de la nature, mais par contre promet de livrer à la promotion immobilière le coeur de la commune.
Et ils rejettent d’un même mouvement le projet de fusion avec Bois Guillaume qui vient de sortir du chapeau du maire de cette ville, justement connu pour faire la chasse au moindre centimètre carré et pour promettre au béton les espaces naturels les plus remarquables.

Il y a un an, lors des municipales, l’équipe aujourd’hui en place s’était bien gardée de faire part du PLU actuel et du projet de fusion.
Lundi 29, à 20h30, le Conseil municipal est convoqué pour arrêter le projet de PLU et pour lancer une étude préparatoire à la fusion!

L’association Bihorel avec vous qui anime la mobilisation citoyenne sur tous ces sujets appelle la population à la rejoindre dans les jardins de la mairie à partir de 19h30.
Plus de 20% des bihorellais ont voté Europe écologie le 7 juin.
Pour les Verts, c’est un motif d’espoir et une raison supplémentaire pour inviter les bihorellais à manifester, avec Bihorel avec vous, pour une ville durable!

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QUI VEUT TUER LES BOUCLES DE SEINE ?

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Ignorance? fuite en avant compulsive des aménageurs ? irresponsabilité écologique?

Invité par le Conseil économique et social régional (Cesr), le 14 mai dernier Antoine Grumbach, architecte du futur « grand Paris » désigné par Sarkozy , a benoitement dénoncé le classement, selon lui « stérile » (!?) des Boucles de Seine.
Le même a aussi expliqué qu’il fallait rendre constructibles les zones inondables de la vallée de la Seine.
Ce n’est pas étonnant venant d’un monsieur qui a écrit un rapport de 282 pages qui réduit le destin du Havre à n’être que le port de Paris.
Il ignore la Haute Normandie et ses habitants. Il ignore aussi sans doute qu’entre La Havre et Paris il y a Rouen et qu’entre Rouen et le Havre il y a le Parc naturel des Boucles de Seine Normande.

Quelques jours auparavant, le classement des Boucles avait du subir, dans la même enceinte, la charge du président de la Chambre régionale des chambres de commerce et d’industrie (Crci), toujours avide de nouveaux espaces naturels à bétonner pour y poser des marchandises qui ne font que passer dans la Région mais font la fortune des logisticiens.

Le plus ennuyeux? l’Agglo de Rouen, saisie par l’Etat au sujet du projet de classement, a rendu à celui ci, sous la signature de son Vice président au « Développement durable » un avis demandant « d’exclure du périmètre de classement les zones actuellement urbanisables. »
L’intérêt d’un classement, c’est de rendre quasi impossible, l’urbanisation de zones naturelles ou patrimoniales (paysage, sites) remarquables. En clair, les dits élus voudraient continuer à urbaniser sans contraintes !

Ceux qui veulent réduire ou empêcher la protection des Boucles de Seine estiment qu’il n’y a sans doute pas assez de zones industrielles et portuaires dédiées entre le barrage de Poses et Le Havre.
Ce faisant, ils prennent le risque de mettre à bas le compromis entre les associations environnementales et le Port de Rouen: l’arrasement léger du chenal … sous conditions d’études des sédiments (risques de PCB), de re-naturation des berges et du classement des Boucles!

CA ROULE GRACE AU CONTOURNEMENT EST ?

échangeurs

Les maires de Bihorel, Bois Guillaume, Isneauville, et autres communes riveraines du tunnel de la grand mare brandissent régulièrement la solution magique à tous nos maux : le CON TOUR NE MENT est; celui ci nous épargnerait la congestion et le blocage du tunnel de la grand mare en détournant.. un peu plus loin, (tant pis pour les riverains des communes concernées plateaux est) le trafic et ses nuisances.

Je les invite à se reporter aux travaux de dangereux écologistes : les services du Ministère de l’équipement, source CETE Normandie centre du 8 avril 2005, relatifs au trafic journalier dans le tunnel de la grand mare :
Il circulait en 2003 38 000 véhicules par jour dans le tunnel de la Grand mare
Prévision 2015 avec réalisation du contournement est : 42 000 véhicules / jour
Prévision 2015 sans contournement est : 45 000 véhicules / jour

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HAUT-NORMANDS ET RESPONSABLES

Bahia
On dit parfois que les haut normands, en dépit de l’ouverture maritime, sont casaniers, peu curieux d’échanger et partager leurs savoir-faire et leurs expériences avec les habitants de régions voisines ou plus lointaines.
Ce n’est pas (ce n’est plus) si sur.
Région sans frontières destiné à aider financièrement les étudiants qui accomplissent une partie de leurs cursus dans des universités étrangères remporte un succès croissant. La dernière livraison du Fonds d’Aide aux Micro Projets de Développement témoigne, elle, de la croissance continue des projets de coopération nord – sud portés par des habitants et des associations de Haute Normandie.

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BIHOREL – BOIS GUILLAUME : LA PROMOTION IMMOBILIERE ET LE BETON POUR SEULS DESTINS ?

Mont Fortin Les conseillers municipaux de Bihorel et Bois Guillaume étaient conviés le 15 avril dernier, par les deux maires, à une réunion commune destinée à examiner l’hypothèse du rapprochement des deux communes. Les habitués du Conseil municipal de Bihorel n’ont pas été surpris de la forme approximative de la convocation des conseillers municipaux le 15 avril dernier. Nous ne savions pas quel était le statut de cette réunion. Nous avons découvert une urne en pénétrant dans la salle, nous avons été informés que nous étions invités à voter pour approuver le lancement de l’étude. Plusieurs conseillers municipaux des majorités municipales, absents, avaient laissé des pouvoirs de vote, ce que n’avaient pu faire les absents de l’opposition, ni informés qu’un vote était à l’ordre du jour, ni destinataires du formulaire de pouvoir ad-hoc habituel.
On m’objectera que ce qui compte c’est le fond du projet plutôt que la forme et la procédure. Je pense au contraire que les deux ont à voir. La forme, peu respectueuse de l’opposition municipale et des habitants qu’elle représente, est justement révélatrice du projet au fond : précipité, approximatif, démissionnaire.

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LES CANDIDATS DEBATTENT DE L’EUROPE A ROUEN SAMEDI 14H30

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Le mouvement européen poursuit son travail de pédagogie pour que l’avenir européen soit davantage approprié par les citoyens.
Il organise un débat sur le thème
QUELLE EUROPE VOULEZ VOUS ? PARLONS -EN!
demain, samedi 28 mars , de 14h30 à 18h, à l’espace du moineau, 41 route de Neufchatel, à Rouen
FRANCOIS DUFOUR, agriculteur biologique et syndicaliste agricole, 2 ème sur la liste EUROPE ECOLOGIE conduite par HELENE FLAUTRE réprésentera la liste Europe Ecologie et débattra avec les candidats UMP, Nouveau Centre, Modem, PS et PC.
Thomas Ferenczi, journaliste au Monde, sera grand témoin.
Bruno Morice, journaliste à RCF, animateur.

Entrée libre

DEBAT SUR L’EAU : IMPRECISIONS ET CONTRES VERITES

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Je ne suis ni vice-président de l’Agglomération en charge de l’eau, ni maire de Bois Guillaume ou de Bihorel, ni particulièrement féru ou connaisseur de la gestion de l’eau mais un peu soucieux de l’avenir de cette ressource commune et précieuse, et aussi un peu curieux.

J’ai assisté il y a quelques jours au débat public organisé par le collectif eau publique. J’ai entendu ou lu les dernières interventions de Pascal Houbron et Gilbert Renard. Je viens de lire la présentation de l’étude commandée par l’Agglomération, opportunément mise en ligne par Dominique Gambier, sur laquelle s’appuyent, depuis , les divers élus et commentateurs, qui déplorent le "surcoût" qui serait provoqué par la gestion publique en comparaison de la gestion en délégation au privé.
Beaucoup des élus de droite… et de gauche, qui en parlent, n’ont manifestement pas pris la peine de la lire ou plutôt, n’en retiennent que ce qui les arrange. On reste confondu par tant de légèreté… ou de malhonnêteté intellectuelle.
J’invite en particulier Pascal Houbron et Gilbert Renard, qui en font des kilos depuis le début de l’année, pour dénoncer la reprise en régie publique, à lire jusqu’au bout le rapport du cabinet conseil dont ils font leurs choux gras.
Page 25 , dernière phrase :
Le coût de la gestion future, qu’elle soit en régie contrôlée ou en gestion directe, serait moins élevé que la gestion actuelle.
La gestion « actuelle » , c’est à dire la gestion en délégation de service public par Véolia, que regrettent nos maires de droite des plateaux nord!

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POUR UN NEW DEAL ÉCOLOGIQUE écologiste, conseiller régional de Normandie